• Très joli texte à méditer ...

     

     

    Un saint homme tenait un jour une conversation avec Dieu. Il lui dit:

    - Seigneur, j'aimerais savoir comment est le paradis et comment est l'enfer ?

    Dieu conduisit le saint homme vers deux portes. Il ouvrit l'une des portes  et permit au saint homme de regarder à l'intérieur. Au milieu de la pièce, il y avait une immense table ronde. Au milieu de cette table, il y avait une  grosse marmite contenant un ragoût à l'arôme délicieux. Le saint  homme  saliva d'envie.

    Les personnes assises autour de cette table étaient maigres, livides et  malades. Elles avaient toutes l'air affamées. Elles tenaient des cuillères  aux très longs manches, attachées à leurs bras. Toutes
    pouvaient atteindre  le plat de ragoût et cueillir une cuillerée. Mais, comme le manche de la  cuillère était plus long que leurs bras, elles ne pouvaient ramener les  cuillères dans leur bouche.

     Le saint homme frissonna à la vue de leur misère et de leurs souffrances.


    Dieu dit :

    - Tu viens de voir l'enfer.

    Dieu et le saint homme se dirigèrent vers la seconde porte. Dieu l'ouvrit.  La scène que vit le saint homme était identique à la précédente. Il y avait la grande table ronde, la marmite de délicieux ragoût qui fit encore  saliver  le saint homme. Les personnes autour de la table étaient  également équipées des cuillères aux longs manches. Cette fois, cependant, les gens étaient  bien nourris, replets, souriants et se parlaient les uns aux  autres en  riant. Le saint homme dit à Dieu :

    - Je ne comprends pas !

    - C'est simple, répondit Dieu, ça demande juste de l’habileté. Ils ont  appris à se nourrir les uns les autres tandis que les gloutons et les  égoïstes ne pensent qu'à eux-mêmes.

     


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    D'après quelques experts, ce fleuve de l'ouest de l'île de Java en Indonésie qui, il y a un peu plus de 20 ans coulait normalement le long de ses rives où l'on pouvait voir des pêcheurs jeter leurs filets, les oiseaux de mer se nourrir et dont la beauté naturelle laissait ses visiteurs bouche bée n'existera très certainement plus d'ici peu.

     Ces images nous laissent songeurs ... On ne peut que constater l'ampleur des dégâts et déplorer cette catastrophe écologique très certainement irréversible.

     

     

    "Le fleuve citarum est le plus grand bassin et la plus grande ressource de l'ouest indonésien sur l'île de Java qui est source d'énérgie hydraulique notamment qui approvisionne de grandes villes comme Bandum et Djakarta mais aujourdh'ui le rivière Citarum est en péril.

    Le développement économique et l'accroissement de la population ont entrainé cette situation, la rapide urbanisation et l'industrialisation ont transformé le fleuve Citarum en véritable poubelle de toute la région à tel point que le Citarum est la plus sale rivière du monde aujourd'hui.
    Plus de 2 tonnes de poubelles y sont déversées chaque jour..!

    Les déchets domestiques de neuf millions de personnes avec en plus les rejets de centaines d'usines.

    Les barques de récupération de déchets ont remplacé les barques des pêcheurs, mettant leur santé en péril également pour quelques dollars par semaine."

        

      Le fleuve Citarum

        

      Le fleuve Citarum

      

      Le fleuve Citarum

     

      

     

     


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    Ce petit texte n'est malheureusement pas de moi, mais je souhaite le partager avec vous en cette période de fêtes, en espérant que chacun d'entre nous puisse être une "petite lumière" pour quelqu'un d'autre ...


    « Vous m’avez allumée et vous regardez ma lumière, rêveur, pensif. Vous êtes peut-être heureux, un petit peu, de me voir. Moi, en tout cas, je me réjouis d’être allumée.

    Si je ne brûlais pas, je serais comme les autres dans une boîte en carton. Mais dans une boîte, nous n’avons pas de sens, de signification. Nous sommes simplement là. Ma raison d’être, je l’ai seulement lorsque je suis allumée : allumée, j’existe !

    Mais, depuis qu’on m’a allumée, je rapetisse. C’est dommage ! Mais il en est ainsi : il n’y a que deux possibilités : ou bien je reste entière, intacte dans ma boîte et je ne rapetisse jamais. Dans ce cas, je ne sais vraiment pas ce que je fais sur terre, quelle est ma signification. Ou bien, je répands lumière et chaleur et donc je sais pourquoi  je suis là, pourquoi j’existe, mais bien sûr, pour cela, je dois donner : donner quelque chose de moi, et même me donner moi-même.

    Je suis une petite bougie unique. Allumée, la lumière et la chaleur qui se dégagent de moi ne sont pas fortes, mais avec d’autres bougies, toutes ensembles, grande est notre clarté, forte notre chaleur… La lumière se communique. »



    Réchauffement climatique


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  • Parole de Siddartha Gautama



    Il y a fort longtemps, en Inde, un homme, Siddartha Gautama, abandonna sa vie de prince pour rechercher sa propre voix, son chemin spirituel. Il devint Shākyamuni, moine errant et ascète. Puis, s'apercevant que l'ascètisme n'est pas uniquement le bon chemin, il choisit la médiation, et s'élève jusqu'à devenir le Bouddha, et atteindre le Nirvana, état d'"éveil", de paix intérieure parfaite, totale et permanente, seul capable de rompre le samsara, cycle des vies et rennaissances successives.
    Sa "philosophie" sans Dieu, est basée sur la non violence, et ses messages nous invitent à nous tourner un peu plus sur nous-même, afin de trouver la paix et la sérénité, aujourd'hui, et en ce monde !

    Ces messages sont d'actualité, plus que jamais...



    " Connaître le chemin et ne pas le mettre en pratique, c'est être comme la louche dans la soupière ne sentant pas le goût de la soupe "

    " Si tu ne trouves pas la vérité là où tu es, où crois-tu donc pouvoir la trouver ? "

    " Ceux qui sont éveillés vivent dans un état de perpétuel étonnement "

    " On peut allumer des dizaines de bougies à partir d'une seule sans en abréger la vie. On ne diminue pas le bonheur en le partageant "

    " Celui qui est maître de lui-même est plus grand que celui qui est maître du monde "

    " La vie est si dure... au fond, à quoi sert d'exprimer autre chose que de la bonté ? "

    " Rester en colère, c'est comme saisir un charbon ardent avec l'intention de le jeter sur quelqu'un ; c'est vous qui vous brûlez "

    " Il n'est pas nécessaire de méditer au nom de Jésus, de Bouddha ou de qui que ce soit. Il suffit de méditer, tout simplement. Méditer "

    " Ne recherche pas la perfection dans un monde aussi changeant. Perfectionne plutôt ton amour "

    " Ne te fie pas aveuglément aux paroles d'autrui, même celles du Bouddha. Observe ce qui t'apporte personnellement le contentement, la paix et la lucidité : là est ton chemin "

    " Une conscience troublée par les désirs ne peut se libérer. Une sagesse troublée par l'ignorance ne peut se développer "

    " La vie n'est pas un problème à résoudre mais une réalité à expérimenter "

    " L'insensé reconaissant sa folie est en réalité sage. Mais l'insensé qui se croit sage est vraiment fou "

    " Ce que nous cultivons dans nos périodes sereines devient une force que nous engrangeons pour nos périodes de changement "

    " Le bonheur n'est pas chose aisée. Il est très difficile de le trouver en nous, il est impossible de le trouver ailleurs "

    " Nous sommes ce que nous pensons. Tout ce que nous sommes résulte de nos pensées. Avec nos pensées, nous bâtissons notre monde "

    " Même le deuil et la trahison peuvent nous apporter l'éveil "

    " Qu'est-ce que la peur ? L'appréhension de quelque chose qui n'est pas encore arrivé "

    " Ne croyez pas les individus, fiez-vous aux enseignements ; ne croyez pas les mots, fiez-vous au sens ultime, ne croyez pas l'intellect, fiez-vous à la Sagesse "

    " Tu ne peux pas voyager sur un chemin sans être toi même le chemin "

    " Soyez à vous-mêmes votre propre refuge. Soyez à vous-mêmes votre propre lumière "

    " Certains jours, nous nous sentons tels des étrangers dans ce monde. Mais lorsque notre coeur s'ouvre, nous comprenons que notre place est précisément ici "

    " Afin d'ouvrir notre coeur tel un Bouddha, nous devons accueillir les dix milles joies et les dix milles peines de la vie "

    " Meilleur que mille mots privés de sens est un seul mot raisonnable, qui peut amener le calme chez celui qui l'écoute "

    " Mon action est mon seul bien, mon action est mon héritage, mon action est la matrice qui me fait naître, mon action est ma race, mon action est mon refuge "

    " Il ne faut jamais blâmer la croyance des autres, c'est ainsi qu'on ne fait de tort à personne. Il y a même des circonstances où l'on doit honorer en autrui la croyance qu'on ne partage pas "

    " J'appelle sage celui qui, tout innocent qu'il est, supporte les injures et les coups avec une patience égale à sa force "

    " La réalisation du soi réside avant tout dans la pratique "

    " Si la haine répond à la haine, comment la haine finira-t-elle ? "

    " Ne demeure pas dans le passé, ne rêve pas du futur, concentre ton esprit sur le moment présent "

    " Quel que soit le nombre de saintes paroles que vous lisez, que vous prononciez, quel bien vous feront-elles si vos actes ne s'y conforment pas ? "

    ______________________


    (source : wikipédia)
    Le Bouddha était très attentif à ses auditeurs afin de s'harmoniser avec eux. D'où les méthodes d'enseignements différentes :

    • Il expose directement sa doctrine dans les sermons.
    • Il semble laisser le choix à ses auditeurs :

    « Il m'a insulté. Il m'a battu. » Si tu te plains, ta haine ne s'apaisera pas.

    « Il m'a insulté. Il m'a battu. » Si tu ne te plains pas, ta haine s'apaisera.

    En ce monde la haine n'apaise pas la haine, mais l'absence de haine le fait : c'est une loi éternelle

    • Il enseigne et console indirectement : une mère vient, en larmes, lui présenter son enfant mort pour qu'il le ressuscite. Le Bouddha accepte à condition qu'elle trouve dans la ville une maison où un malheur semblable n'est pas arrivé. Elle parcourt la ville et n'en trouve pas bien entendu. Mais quand elle revient son chagrin a commencé à s'apaiser. Elle n'était pas seule dans son malheur, et d'autres mères malheureuses ont su trouver les mots qui l'ont calmée.
    • Il semble donner raison à tout le monde : le Bouddha, en compagnie de quelques disciples, reçoit des visiteurs. Un croyant vient lui expliquer que Dieu existe. Le Bouddha l'écoute et lui dit : « Vous avez raison. » Le croyant sort satisfait. Un incroyant vient lui expliquer que Dieu n'existe pas. Le Bouddha l'écoute et lui dit : « Vous avez raison. » L'incroyant sort satisfait. Par contre, les disciples ne le sont pas et le disent bruyamment. Et le Bouddha leur dit : « Vous aussi, vous avez raison. »
    • Il écoute ses disciples et les approuve silencieusement, quelquefois avec un simple geste : entouré de ses disciples il venait de recevoir une couronne de fleurs. Il prit une seule fleur, tendit le bras, la fit tourner au bout de son doigt et parcourut du regard l'assistance. Tous se turent, déconcertés. Seul Mahākaśyapa comprit la signification de ce message et sourit. Le Bouddha déclara alors qu'il lui transmit une méthode merveilleuse et qu'il faisait de lui son successeur.

     


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  • Red Cloud

    "Look at me ! I am poor and naked, but I am the chief of the nation. We do not want riches, but we want to train our children right. Riches will do us no good. We could not take them with us to the other world. We do not want riches. We want peace and love".

    Chief Red Cloud - Sioux


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