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  • Je vous fais un copier coller d'un article "emprunter" sur le blog de SANKA7279 (merci !!) et il me semble extrêmement important d'en prendre connaissance !! Mais où va le monde ...


    R
    ichard O'Barry, anciennement dresseur de Flipper le Dauphin (série des années 60, dont tout le monde se souvient, ou a entendu parler) est resté un défenseur acharné des cétacés. Dans ce cadre il a décidé de faire savoir au monde entier ce qui se passait dans la petite baie Japonaise de Taiji. En effet une pratique séculaire et sanglante y est pratiqué environ 6 mois par année, le massacre de plus de 23'000 dauphins. Les plus beaux specimens étant réservés aux delphinariums, pour 150'000 dollars l'animal (les parcs d'attractions utilisant des dauphins rapportent 2 milliards de dollars par an, pour le seul territoire américain !!!) et les autres à la consommation humaine, pour 600 dollars l'animal. O'Barry a filmé en cachette et a diffusé ses images aux plus grands nombres, elles sont arrivées jusqu'aux yeux de Luc Besson et c'est ainsi que le diatribe "THE COVE" est né.

    REGARDEZ LA BANDE-ANNONCE DU FILM !!!

    Si vous voulez voir la bande-annonce du film
    cliquez sur son affiche !!!


    Pour lire l'interwiew de Luc Besson & de Richard O'Barry,
    cliquez sur mon diapo juste en-dessous !!!

    SITE AVEC INTERVIEW DE BESSON & O'BARRY


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  • Loup gris des Etats-Unis et dauphin aveugle du Pakistan

    Loup gris et dauphin aveugle : deux destins macabres

    Coup de projecteur sur deux espèces menacées : le dauphin aveugle du fleuve Indus au Pakistan et le loup gris des Etats-Unis. Le premier, dont la survie est mise à mal par la main de l’homme et le second, que les Etats-Unis viennent de retirer de la liste des espèces protégées, ne doivent pas tomber dans l’oubli. Le combat n’est pas vain, les associations et certains particuliers s’y emploient d’arrache-pied.Certaines situations sont tristes à pleurer. Celles du loup gris et du dauphin aveugle en font partie. Le dauphin aveugle du fleuve Indus, au Pakistan, pouvait, jadis, parcourir les 3 180 km du fleuve qui s’étire depuis le plateau tibétain jusqu’à la mer d’Oman. Mais, comme souvent, la main de l’homme a été ravageuse. Pour irriguer les cultures, il a créé moult barrages et écluses, transformant l’habitat naturel de ce dauphin d’eau douce en véritable labyrinthe funèbre. Nageant à loisir dans ce dédale de barrages, il se retrouve, l’été venu, pris au piège de la sécheresse. Le niveau des eaux baissant significativement, il ne peut plus se déplacer.

    Heureusement, les bonnes volontés, celles du service de la protection de la faune et de quelques particuliers sensibilisés, essaient, avec une seule baignoire et une camionnette de sauver quelques mammifères marins. « Nous avons sauvé 50 dauphins cette saison mais on pourrait faire beaucoup mieux si on avait un hélicoptère », témoigne M. Baghat, un responsable du service de protection de la faune. Aujourd’hui, il n’en subsiste plus qu’un millier.

    Pour ce cétacé aveugle, l’un des plus fragilisés de la planète, l’enfer ne s’arrête pas là. Les pollutions, pesticides et autres pêches intensives ont tarit ses réserves alimentaires, poissons chats et crevettes, amoindrissant ses forces. Figurant sur la liste des espèces menacées d’extinction de l’UICN, son salut ne tient désormais plus qu’aux bonnes volontés des habitants des alentours du fleuve.

    Le loup gris n’est plus protégé…mais chassé


    Source : developpementdurable.com


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  • Il en est des espèces comme des individus : elles naissent, se développent puis s'éteignent. Ce processus fait partie du fonctionnement normal de la vie. Néanmoins, tout semble montrer que le rythme des extinctions s'est brutalement acceléré depuis quelques siècles, voire quelques décennies.

    Notre planète est en train d'inaugurer une phase d'extinction de masse, souvent baptisée "sixième extinction", qui prend la forme à la fois d'un bouleversement et d'un appauvrissement du vivant. Les conséquences pour les générations futures, encore difficiles à évaluer pour l'instant, seront inévitablement très lourdes.

    La paléontologie et les techniques de datation révèlent que les extinctions ne sont absolument pas régulières et continues. Certes le phénomène ne s'arrête jamais, mais il est sujet à des emballements cycliques au cours desquels les espèces se mettent à disparaître en très grand nombre. L'histoire de la vie a ainsi été marquée par cinq grandes extinctions au cours desquelles plus de 60 % des espèces vivantes ont disparu en quelques millions d'années à peine.
    Si la plus connue de celles-i vit disparaitre les dinosaures à la fin du crétacé (-65 millions d'années), la plus impressionnante, à la fin du permien (- 245 millions d'années), s'est soldée par l'élimination de 90 % des espèces marines connues !

    Cependant, celle que nous  vivons actuellement se distingue de toutes les autres par le fait que c'est une seule espèce (la nôtre) qui en est responsable !


    Source : "espèces menacées" - Yves SCIAMA


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