• Je peux concevoir que l'on se nourrisse d'animaux morts ! Après tout, l'homme l'a toujours fait ... Ce n'est pas en elle-même l'alimentation carnée qui me révolte, mais la façon dont les humains traitent encore aujourd'hui les animaux qu'ils consomment, et donc grâce auquels ils vivent !!

    Un poulet qui a grandi à la ferme, qui a gratté la terre de ses pattes, vécu avec ses congénères, courru, sauté, qui a eu une vraie vie de poulet  (là, je sais bien que beaucoup riront, mais pourtant ...) et bien je pense qu'il peut être concevable de le tuer à un moment de sa vie, pour s'en nourir.  (Même si ce n'est pas ma conception personnelle ) !!

    Mais bon, admettons ...
    Idem pour les vaches, les porcs et tout autre animal comestible.

    Alors que si ce même poulet est né en batteries et élevé avec des dizaines d'autres poulet dans la même cage, qu'on lui coupe le bec à sa naissance pour ne pas qu'il  "pique" pas ses congénères par manque de place, il ne saura jamais ce qu'est la terre ni le ciel bleu, et celui là aura vécu dans la souffrance tout sa pauvre vie de poulet, et je plein également l'homme qui le mangera !!
    Parce que crois que le stress "marque" la chair et que forcément, même le goût de la viande ne sera plus le même ...

    Ce qu'il faut garder à l'esprit, et ce que pourtant beaucoup nient, c'est qu'un animal est un être sensible, qui ressent souffrances et humiliations, qui crie et qui pleure.

    Mais l'homme, dans supériorité arrogante, ne voit en lui qu'un animal, un objet là pour satisfaire ses désirs (repas, compagnie). Comment imaginer pour certains que quelque chose de tellement différent de nous puisse ressentir aussi des émotions fortes ??

    Il faut plus que jamais que l'être humain (enfin certains, pas tous heureusement !!), descende de son piedéstal et RESPECTE LA VIE SOUS TOUTES SES FORMES, humaine, cela va de soi, mais aussi animale et végétale.

    Voici une petite vidéo qui résume tout ceci mieux que je ne pourrais le faire !

    Merci de me lire ... Merci de vos réactions.






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  • Greenpeace appelle à « zéro déforestation d'ici 2020 » !
    La déforestation tropicale est responsable de 20% des émissions mondiales de gaz à effet de serre, davantage que le secteur des transports au niveau mondial.

    Pour sauver le climat, il faut sauver les forêts !

    Chaque année, 13 millions d'hectares de forêts disparaissent, soit environ un quart de la superficie de la France. Les forêts abritent la moitié de la biodiversité mondiale et constituent le cadre de vie de centaines de millions de personnes.

    Cette année sera cruciale pour le climat et les forêts. Le sommet des Nations Unies sur les changements climatiques, qui aura lieu à Copenhague en décembre 2009, devra donner une suite au protocole de Kyoto. La question de la déforestation y occupera une place importante et des décisions doivent être prises pour STOPPER la déforestation, protéger les forêts et ainsi lutter contre les changements climatiques.

    Le temps est compté, pour les forêts et pour le climat. Chaque signature peut faire la différence... plus nous serons nombreux, plus nous serons entendus !
    Je soutiens l'appel envoyé aux décideurs politiques pour « Zéro déforestation d'ici 2020»


    http://www.greenpeace.fr/zero-deforestation/


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  • Nos amis de Greenpeace proposent en ligne un astucieux jeu de fléchettes pour évaluer l’éco-responsabilité de chacune des principales nations à la veille du Sommet de Copenhague, le plus important jamais réuni pour ce qui concerne notre futur planétaire.

    Il vous suffit de lancer les fléchettes de onze des principaux chefs d’états pour savoir celui qui est le plus près du mille.

    Contre toutes attentes, les États-Unis et leur président, dont la position est d’importance en la matière, sont bien placés parmi les… derniers !

    Une déception pour les français qui croyaitent réellement en l'implication sérieuse de Barack Obama, dont la tiédeur déçoit, malgré des efforts faits !
    Une petite phrase datant d'avant l'élection aurait cependant pu nous mettre la puce à l'oreille : « Nous n’allons pas nous excuser pour notre mode de vie », dixit Barack Obama.



    Alors n'hésitez pas à jouer et vérifier qui sera à la hauteur des espérances de la planète à Copenhage :

    http://www.greenpeace.fr/copenhague/leader-ou-loser.php



    Planète attitude - Michel Tarrier

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  •  


    Consommateurs, vous êtes ce que vous mangez. Et vous forgez le monde de demain par ce que vous achetez !



    Food, Inc. est un film documentaire de Robert Kenner.
    Le documentaire examine l'industrie agroalimentaire aux États-Unis et conclut que la viande et les légumes produits par ces entreprises sont bon marché, mais il sont également malsains et nuisibles pour l'environnement.
    Le documentaire est raconté par Michael Pollan et Eric Schlosser, deux critiques de longue date du système agroindustriel. Aux États-Unis, le documentaire a été
    victime d'une forte campagne de dénigrement par les grandes entreprises agroalimentaires.


      La première partie du documentaire examine la production industrielle de viande (poulet, boeuf et porc).

      La seconde partie se penche sur la production industrielle de céréales et de légumes (haricots, mais surtout maïs et soja).

      La troisième et dernière partie présente

                 * la puissance économique et juridique des grandes entreprises agroalimentaires, dont la fonction repose sur l'approvisionnement en produits alimentaires bon marché, mais contaminés,

                 * l'utilisation massive de produits chimiques à base de pétrole (pesticides et engrais),

                 * la promotion de mauvaises habitudes alimentaires.


    La plus grande qualité de ce film est de procéder à une synthèse particulièrement complète de la situation en prenant en considération tous les aspects de l'industrie alimentaire actuelle des états-unis, et toutes les incidences sur la santé des citoyens. 


    Colette Roos, journaliste à Rue89 et France Inter, a écrit au sujet du film :

    « Un monde où élever des vaches au pré serait un acte de résistance. Où l'on tuerait, dans un abattoir gargantuesque, 30.000 porcs par jour. Où il serait plus difficile d'obtenir le droit de visiter une usine de steaks qu'une centrale atomique. Où se faire servir un hamburger coûterait moins cher qu'acheter une pomme. Où les poulets, élevés dans le noir et engraissés trop vite, ne pourraient plus tenir sur leurs pattes. Un monde où la nourriture rendrait malade et où il serait impossible de savoir de quoi elle est faite.

    Ce monde, c'est celui que les chaînes de fast-food et, derrière elles, les industriels de l'agroalimentaire ont façonné. C'est celui que le documentariste Robert Kenner a choisi de montrer dans son film à charge, Food, inc.
    Les acteurs principaux ? Mc Donald's ou Monsanto, mais aussi Tyson, IBP ou Smithfield, transformateurs de viande qui contrôlent des millions de bêtes et décident du sort de fermiers désespérés et surendettés. Face à ces entreprises qui ruinent l'environnement autant que la santé de leurs clients, nul salut à attendre des instances de régulation américaines, infiltrées par d'ex-cadres de l'agroalimentaire.

    Le seul mode d'action possible ? S'informer pour comprendre pourquoi les calories les moins chères à l'achat sont aussi les plus coûteuses pour la planète, les humains et les animaux qu'ils exploitent. Un avertissement adressé à ses compatriotes, mais aussi valable ici, où des lobbies travaillent à affaiblir la règlementation européenne et des entreprises, à s'approprier le vivant. »

    « 



    Source : Salon Marjolaine



    -    Sortie au cinéma le 2 décembre 2009


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  • Les scientifiques ont découvert la preuve que les fonds marins de l'Arctique commencent à libérer dans l'atmosphère des millions de tonnes de méthane, un gaz à effet de serre 20 fois plus puissant que le dioxyde de carbone. Les chercheurs ont pu observer le bouillonnement provoqué par le gaz à la surface de la mer.





    The Independent a pris connaissance d'une partie des premiers résultats obtenus, qui suggèrent que le gaz méthane contenu dans d'énormes gisements sous-marins en Arctique s'échappe vers la surface en raison du réchauffement et de la disparition des glaces.

    Durant ces derniers jours, les chercheurs ont observé des zones où la mer bouillonnait sous l'effet des bulles de gaz remontant des « cheminées de méthane » émergeant dans les fonds marins. Ils estiment que la couche de pergélisol (ou permafrost) sous-marin qui agissait comme un « couvercle », empêchant le gaz d'être libéré, a fondu par endroits et permet au méthane de s'échapper des dépôts qui s'étaient formés avant le dernier âge glaciaire.

    Les chercheurs mettent garde sur le fait que ce phénomène pourrait être lié au réchauffement rapide qu'a connu la région au cours des dernières années.

    Le méthane est un gaz dont l'effet de serre est environ 20 fois plus puissant que le dioxyde de carbone et de nombreux scientifiques craignent que sa libération pourrait accélérer le réchauffement de la planète par le biais d'un gigantesque processus de rétroaction dans lequel le méthane répandu dans l'atmosphère provoquerait une élévation des températures, ce qui aggraverait la fonte du pergélisol et libérerait encore plus de gaz.

    On estime que la quantité de méthane piégée sous l'Arctique est supérieure à la quantité totale de carbone contenue dans des réserves mondiales de charbon. Il est donc de toute première importance que ces réservoirs restent stables au moment où cette région se réchauffe à un rythme plus rapide que d'autres parties de la terre.


    Par Steve Connor, The Independent


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